La surface orientée permet de rompre l’espace, de s’en imprégner et de dévoiler sa lumière qui glisse et qui se répand.
Dans un certain sens, et une certaine poésie, elle permet d’accompagner et d’accrocher ce faisceau qui se développe.
Les deux sections, se présentent comme un espace-lumière au sein duquel existe une vibration chromatique presque imperceptible, conférant une certaine vie au support de l’information.
Le plan est brisé et laisse entrevoir la couleur prise au sein même de la sculpture.
Coupe de l’espace, en dissection.
On accède ainsi à l’information dont est porteur le plan lumière.
Une couleur arrêtée, pure.
R. A.