Cette action découle d’une volonté d’examiner comment le politique et le légal modèlent le paysage. Cette frontière longue de 8891 kilomètres est actuellement matérialisée par un corridor de 6 mètres de largeur avec peu de végétation, la forêt ayant été coupée en vue d’améliorer la surveillance. J’ai décidé d’aller planter un arbre sur la ligne de démarcation. Ce geste simple questionne avec humour et poésie la possibilité d’un geste contestataire.
J. B.-M.